(m/libre) BETHEL ∞ plus t'essaies de me faire tomber, plus je deviens de plus en plus forte.

Invité Invité

davis aaron valentyne.

❝underco.❞

Have you met...

Ton âge ✎ vingt-sept ans. date et lieu de naissance ✎ au choix, à los angeles. origines ✎ américaine. orientation sexuelle ✎ hétérosexuelle. statut civil ✎ célibataire. occupation dans la vie ✎ barman. traits de caractère ✎ arrogant. loyal. borné. franc. drôle. intelligent. jaloux. fier. rancunier. ambitieux. rebelle. détails importants sur ta vie ✎ lui et sa soeur ont été élevés par leur mère; son père, policier, est mort lors d'une affaire qui a mal tournée alors qu'il avait seulement cinq ans ∞ il est venue vivre à Dublin avec sa famille l'année suivante ∞ il fait un complexe d'infériorité par rapport à son père; il a l'impression de le décevoir constamment, tant sur le point professionnel que sur le point personnel ∞ il a eu une seule et unique relation sérieuse : elle s'appelait Jude. Ils se sont aimés pendant un an. Mais la jeune femme est morte d'un cancer à l'âge de vingt-deux ans. Il en a beaucoup souffert et reste très secret à ce sujet ∞ il rêve d'ouvrir son propre bar ∞ il vit avec son meilleur ami et sa soeur.

Histoire✎ voir à côté.

Dernière édition par Capucine E. St-John le Ven 21 Sep - 0:55, édité 1 fois

Invité Invité

capucine e. st-john ✎ feat rachel bilson

(m/libre) BETHEL ∞ plus t'essaies de me faire tomber, plus je deviens de plus en plus forte. Tumblr_m3cq9ijJB21qzgecuo1_500

« J'en peux plus, cette situation m'épuise Davis. On passe notre temps à s'entre-tuer, à s'envoyer des noms d'oiseaux à la figure. Ça m'fatigue. Notre relation devient beaucoup trop spéciale pour continuer. J'abandonne. » lui expliqua-t-elle. Ce sont les derniers mots qui raisonnèrent dans la pièce. Davis était planté là, comme un idiot, dans le lieu de leur première rencontre. Ça y est, c'était fini. Après presque trois ans de bataille, il avait perdu. Ils avaient perdu, tous les deux. Un sourire se dessina cependant sur son visage. Elle allait revenir. Elle revenait toujours. Ils étaient des âmes soeurs. Il l'avait compris la première fois qu'il avait croisé son regard.

- si tu me déteste sans avoir de motif, je vais t'en donner quelques-uns.

Concentrée. Il fallait qu'elle reste concentrée. Elle ne pouvait pas laisser passer sa chance. Ce poste de journaliste était la chance de sa vie. Peut-être qu'à force de travail, elle deviendrait animatrice. Comme sa belle-mère, Robin. Alors que ses yeux étaient rivés sur la page blanche de son ordinateur, quand une tasse frappa violemment la table. Elle sursauta et releva la tête, en arquant un sourcil. C'était encore ce serveur. « Vous avez bientôt fini ? Vous encombrez l'espace là. » lança-t-il, en posant ses mains sur ses hanches. Elle entre-ouvrit la bouche, visiblement choquée. A croire qu'on ne lui avait pas appris les bonnes manières à celui-là. Elle referma son ordinateur, et s'accouda sur la table, avant de plonger son regard noir dans le sien. « Je vois que le fait d'avoir des employés polis ne faisait pas partie des critères de ma mère. » lui répondit-elle, mesquine. Il lâcha échapper un soupir, avant de poser ses mains sur la table et se pencha vers elle. « Ecoute-moi St-John, tous les jours c'est la même comédie. Ici on a de vrais clients, pas des pimbêches dans ton genre, qui croit que tout leur tombe tout cuit dans la bouche. Alors va faire mumuse ailleurs, il me semble que maman t'as offert un appart' non ? » lui répondit-il, amèrement. Il en avait plus qu'assez de la voir se pavaner, à croire que c'était fait exprès pour l'emmerder. Mais oui, c'était évident. Elle passait son temps à faire ça. Le narguer, le faire tourner en bourrique. C'était comme ça, entre eux. Ils ne se connaissaient pas, et pourtant se comportent comme deux rivales de toujours, deux gamins qui se battent sans arrêt. Il la regarda, se relever, sans broncher. « On se tutoie maintenant, ça vient de sortir ? D'accord. Alors ... Davis, si tu te permets de juger les personnes que tu rencontres deux ou trois fois dans ta vie sans même les connaître, c'est que tu es vraiment un abruti. Ouais, un pauvre abruti. Ce n'est pas parce que j'ai l'air d'une fille bien sous tout rapport et que je porte des Louboutins que je suis né avec une petite cuillère en argent dans la bouche. Sur ce, dis à ma mère que je passerai la voir quand tu ne sera plus dans les parages. » lui cracha-t-elle à la figure, avant d'attraper son sac, son ordinateur et de lâcher un crétin avant de disparaître dans la rue. Davis se retourna. Tout le monde l'épiait. Il se mit à rire, nerveusement. Elle avait du cran, cette petite. Enfin une adversaire à sa hauteur.

- Choisir de se croire vulnérable, même un instant, rend vulnérable.

« Maman ? C'est Capucine. Rappelle-moi le plus vite possible. J'ai ... Je crois que j'ai fais n'importe quoi. C'est pas que je crois, c'est sûr. Je suis chez le mécanicien, tu sais celui en sortant de Dublin. J'ai besoin que tu viennes me chercher. Bye. » lança-t-elle en raccrochant. Elle soupira. Elle s'était encore foutue dans un sacré pétrin. Merci Piper et ses idées d'aller faire la fiesta à l'autre bout de la ville. Elle alla s'asseoir, en attendant que sa mère arrive. Au bout de trois quart d'heure d'attente, une voiture s'avança vers elle. Elle baissa la tête, et grimaça. Visiblement, ce n'était pas sa mère, à moins qu'elle se soit réincarné en un homme blond et arrogant. « Alors St-John, on a un problème ? » lui lança-t-il, d'un air victorieux qu'elle détestait tant. La voir ici, ayant besoin d'elle était tellement jouissif. Il marquait un point, la partie était relancée. « Aller, monte. » continua-t-il. Elle regarda autour, puis se résigna à l'écouter, en montant dans la voiture, sans piper mots. La route se fit dans le silence, sans un regard. La situation était plutôt drôle. Enfin, pour lui. Car pour Capucine, la perspective de voir en Davis un sauveur ne l'enchantait guère.
Le chemin fut rapide, et tant mieux. Capucine lui jeta un regard à Davis, avant d'ouvrir la portière et de sortir. Le jeune homme roulait des yeux. Elle n'acceptait pas la défaite, c'était triste. « De rien St-John, ce fut un plaisir ! » lui lança-t-il, avec son sourire. Elle retourna sur ses pas. « Okay, t'as gagné, c'est bon. Je ne suis pas en état de jouer. Et je ne m'appelle pas St John, ma mère m'a donné un prénom, ce n'est pas pour rien. » balbutia-t-elle, avant de tourner les talons. Elle commença à tituber jusqu'à son appartement, mais elle dérapa et se retrouver les fesses par terre. Compatissant, pour une fois, Davis alla à sa rescousse. Il l'a souleva, elle grimaça. « Tu vois St-John, tu as besoin de moi. » lui dit-il, avec un ton sarcastique. Il avança, puis ouvrit la porte de l'appartement, il épia l'intérieur : c'était raffiné et classieux, un peu comme elle. Il l'a posa sur le sofa. « Je ne vais pas te déranger plus longtemps. » lui dit-il, avant de se diriger vers la porte. « Davis ? » l'interpella-t-elle, se relevant légèrement. Le jeune homme se retourna, la fixant. « Merci. » se contenta-t-elle de dire. Peut-être était-ce l'alcool, ou un moment de clarté, mais elle semblait reconnaissante envers lui. Ou vulnérable. Et pour la première fois, le regard que Davis portait sur elle semblait sincère et amicale. Avec le temps, ils deviendraient peut-être amis.

- J'étais à deux doigts, de finir fou de toi.

Le vent se levait, signe de l'arrivée de l'automne. Une feuille tomba, puis une deuxième. Davis releva le col de son manteau, silencieux. Cela faisait deux semaines qu'il n'était pas venue la voir. Il en avait eu terriblement envie, mais pourtant, il s'était retenue. Mais aujourd'hui, il fallait qu'il parle à quelqu'un. Il s'avança, paisiblement, avant de se retrouver face à elle. Il se baissa. « Eh Jude ... Ne t'inquiètes pas, je ne vais pas te refaire le remake des Beattles, je sais que tu détestes ça. Tu dois sûrement être folle de rage de ne pas être venue te voir plus tôt. Je t'imagines déjà en train de me crier dessus. » lança-t-il, en riant légèrement. Puis il enleva quelques feuilles sur la pierre. « Il fallait que je te parles d'un truc qui me trottes dans la tête depuis pas mal de temps. C'est cette fille. Elle s'appelle Capucine. Une fille un peu précieuse, tu sais le genre de nana hautaine qui méprise ceux qui n'ont pas un compte à plus de quatre zéro à la banque. Bref, je déteste cette fille » continua-t-il. Un long silence s'installa, entrecoupé du bruit des feuilles volantes. Il fallait qu'il soit honnête. Par respect pour sa mémoire. « Je la déteste parce qu'elle a réveillé des sentiments en moi qui n'ont plus existé depuis que tu es partie. Elle ... Elle est tellement imprévisible et emmerdeuse, mais j'aime son côté maladroit. J'aime quand elle m'appelle Valentyne en se ramenant vers moi sur ses grands talents en me balançant des absurdités, j'aime sa façon de rire, j'aime quand elle se sent vulnérable en ma présence. Je sais plus quoi faire, je sais qu'entre elle et moi c'est impossible. Et il est hors de question que je me laisse guider par mes sentiments. » lança-t-il, en un murmure. « Davis ?! » se fit entendre, au loin. Il fronça les sourcils. Non, c'était impossible. Personne ne savait pas qu'il venait ici. Il se retournait, les mains dans les poches. Derrière lui, Capucine, les yeux écarquillés par ce qu'elle venait d'apprendre. « Attends, je peux t'expliquer... » continua-t-il, en s'avançant. L'intéressée se recula, abasourdie. « Il n'y a rien à expliquer. Merde, tu fais chier Davis ! Il faut toujours que tu compliques tout ! Ma mère te cherches. Quand à moi, je veux plus te voir. » lui cracha-t-elle, en repartant plus vite qu'elle était arrivée. Ca y est, il avait tout gâché. Il savait pertinemment qu'il ne pourrait rien se passer entre eux, étant donné la situation de Capucine. Et il avait tout fait merder. Encore une fois.

- pursuit of happiness.

Cela faisait au moins une demi-heure. Une demi-heure que Davis tambourinait à la porte de chez elle. Il ne pouvait pas rester sur cette fin. Il fallait qu'il crève l’abcès. « Capucine, ouvre bon sang ! » lui lança-t-il à travers la porte, en continuant de tambouriner. Qu'est-ce qu'elle était bornée, cette fille ! « Eden Stinson, tu vas ouvrir la porte maintenant. » lui ordonna-t-il. Quelques secondes plus tard, il trouva porte ouverte. Capucine était là, face à lui. Elle lui fit signe d'entrer. « Tu vas alerter les voisins. » lui répondit-elle, en fermant la porte derrière lui. Puis elle alla se rasseoir sur le canapé. « J'ai pas rêvé, tu m'as appelé Eden ?! » lui demanda-t-elle, ne comprenant visiblement pas comment il avait pu être au courant. « Je me renseigne souvent sur les gens que je côtoie. » plaisanta-t-il, histoire de détendre l'atmosphère. Mais visiblement, ça ne marchait pas ... Il s'avança vers elle, puis s'installa à ses côtés. « Je suis venue te parler de tout à l'heure ... Je vais pas te mentir, tout ce que je pensais était vrai. Ouais, je tiens à toi. Je tiens à toi même quand tu m'envoies bouler. Même si parfois tu m'tapes sur le système. C'est comme ça. » lui dit-il. Elle avait l'air troublée. Et dans ses yeux, on pouvait sentir qu'elle ressentait aussi quelque chose. C'était la première fois qu'il l'a regardait comme ça. Il était temps. Temps qu'il se jette à l'eau. Il posa sa main sur sa joue, puis s'approcha lentement vers elle. Mais elle recula. « Ecoute Davis ... Je ne peux pas. Ca va faire bientôt six mois que l'on se côtoie, mais je ne connais rien de toi. Je ne peux pas construire quelque chose sur du vent. T'es comme un étranger pour moi ! Les seuls paroles que l'on échange sont des insultes. Je suis désolée. » lui dit-elle, en se relevant. Elle s'approcha de la porte, signe qu'elle voulait qu'il parte. Il se releva, lui aussi, et sorti, avec un goût amer. Non, non, non, il ne pouvait pas la laisser filer. Il entra de nouveau, sans son accord. « Je m'appelle Davis Aaron Valentyne. Je suis né il y a vingt-sept ans. J'ai emménagé ici il y a vingt ans. Mon premier animal de compagnie était un hamster, il s'appelait Tucker. J'ai été élevé seul par ma mère avec ma soeur, elles sont la prunelle de mes yeux. Cette cicatrice ici, je l'ai faite en cassant la gueule a un mec qui emmerdait ma soeur. J'ai jamais eu de relations sérieuses, c'est pas mon truc. J'ai eu une seule petite amie attitrée, elle s'appelle Jude, elle est morte d'un cancer, c'est à elle que je parlais. Et la dernière chose à savoir sur moi, c'est que je ne veux pas laisser une minute de plus filer... » lui récita-t-il, mais il n'a pas eu le temps de finir. Capucine se rapprocha de lui, et posa ses lèvres sur les siennes.

Invité Invité

bonjouuuuuur/bonsoooooooooir mon petit poulet *w*,
Tout d'abord, je te remercie de t'être arrêté sur ce scenario (a), ce petit message est destiné à t'éclairer un peu sur les "conditions" (oui je met des guillemets car tu vas te rendre compte que je ne suis pas difficiles !) que j'impose sur ce scénario.

∞ Pour commencer, et afin que tu cernes mieux le personnage, je vais te parler de la relation et du personnage en lui-même. La relation entre Davis & Eden (car il est le seul à l'appeler comme ça) ressemble trait pour trait à la relation entre Wade & Zoé dans Hart of Dixie. Je sais, ça fait cliché, mais je trouve leur relation tellement intéressante à jouer que je n'ai pas pu m'empêcher de m'en servir (a). Davis est immature, Davis est coureur de jupon, mais ne s'est jamais engagé réellement dans une relation sérieuse, hormis Jude (voir dans le scenario). Il est sarcastique, ne manque pas d'humour. Je le vois bien qu'après leur nuit d'amour au moment où il lui annonce qu'il tient vraiment à elle, faire comme si que rien ne s'était passé, bien trop fière pour se rabaisser une seconde fois. Leur relation se résume à ça : ils se lancent des piques, se fâchent, se rapprochent, s'éloignent, se tournent autour.

∞ Le prénom & le nom, ainsi que l'avatar ne sont pas négociable. J'affectionne tout particulièrement ce pseudo et je ne vois personne d'autre dans ce rôle que Wilson. Wade & Zoe quoi.

∞ Concernant la disponibilité, je ne suis pas difficile. Essaye juste de passer une ou deux fois dans la semaine, et de répondre au moins une fois par semaine (a).

Voilàààààà mes exigences, en espérant te voir bientôt parmi nous.

Contenu sponsorisé